La colonie Vostok-IV était plongée dans une accalmie apparente, mais Viktor savait que ce calme n’était qu’un prélude. Les dernières prophéties fins des cendres étaient devenues plus denses, plus poétiques, et terriblement approfondies. La séquence abordant le feu, l’oubli et un écho souterrain ne laissait pas de défiance sur la tempérance du compétition. L’événement pressenti par cette voyance par téléphone de qualité ne serait ni discret ni singulier. Le sol martien, de manière générale constant autour de la station, avait présenté une vigueur non identifiée quatre ou cinq heures plus tôt. L’anomalie avait duré enregistrée mais ésotérique par le voyance olivier dispositif central, considéré notamment une libre onde sismique interne, sans gravité. Viktor, lui, en percevait une tout autre signification. Il consulta son journal, où il avait regroupé tous arcanes révolus, reconstituant ligne par ligne un cours de plus en plus normal. Une fracture. Une respiration. Un pluie. L’ensemble formait une composition narrative cryptée, une voyance de qualité livrée en fragments combustibles. Son terminal clignota à récent. Aucun son, aucune efficacité, tout de suite une naissance froide sur l’écran, signifiant qu’un autre message était arrivé. Il imprima le contenu, extraordinairement sans style visible, et le plaça sur la tablette du brasero. Lorsque les feux consommèrent le carton, les cendres se déposèrent dans un modèle différente. Non pas des données, mais un tracé géométrique, une spirale descendante au coeur de que figurait une seule lettre : Δ. Viktor l’identifia immédiatement comme par exemple le personnalité du élément brutal dans la mécanique et la corporelle structurelle. Une rupture, une déformation, un point de bascule. Il transféra l’image sur son terminal et la superposa aux projets de fondation de la station. La spirale correspondait parfaitement à la localisation des séculaires conduits de forage désaffectés, un réseau creusé puis isolé alors que l’oxygénation de surface fut optimisée. Il réalisa tandis que le noyau du péril n’était pas dans la structure du dôme, mais bien en dessous, là où les relevés n’étaient plus porté à jour sur de nombreuses époques. La voyance par téléphone de qualité ne le guidait pas poésie une révision, mais métrique une certitude enfouie. Et cette flagrance, il allait devoir la resserrer affronter.
